En 2032 grâce à vous
CentraleSupélec
actrice de la
préservation
des souverainetés
Notre objectif, avec vous : accroître notre indépendance économique.
Alors que les équilibres mondiaux se fracturent et que les ressources se raréfient, CentraleSupélec s’engage à capitaliser sur ses compétences-forces pour préserver nos souverainetés industrielle, alimentaire, numérique.
Pourquoi
faire un don ?
- Pour créer un fonds de 15 M€ destiné à pérenniser les ressources propres de l’École nécessaires au développement de toutes ses compétences-forces ;
- Pour renforcer le soutien de la Fondation à la recherche et à l’entrepreneuriat, moteurs de solutions pour garantir nos souverainetés.
Souveraineté numérique
Développer
notre leadership
CentraleSupélec souhaite s’imposer dans la compétition internationale en Data/IA, aujourd’hui largement dominée par les États-Unis et la Chine, en capitalisant sur deux grandes forces :
L’Institut d’intelligence
artificielle DATAIA
Cet institut de l’Université Paris-Saclay, dont CentraleSupélec est membre fondateur, constitue le 1er écosystème français en IA. Il mobilise plus de 1 200 chercheurs issus de 42 laboratoires, et l’ensemble des disciplines pour développer ses programmes de pointe en recherche et en formation.
Une excellence reconnue
en cybersécurité
Membre du Pôle d’excellence CYBER créé à l’initiative du ministère de la Défense et de la Région Bretagne, CentraleSupélec porte notamment, avec la Direction Générale de l’Armement, le Laboratoire Haute-Sécurité (LHS) qui a pour vocation le transfert technologique vers l’industrie.L’équipe de recherche CIDRE, sur le campus de Rennes, est également une référence mondiale pour la production de solutions contre les logiciels malveillants et les attaques sur les systèmes matériels.
Souverainetés industrielle
et alimentaire
Faire face à la raréfaction
des ressources
Grâce au dynamisme de sa recherche et à l’engagement de ses entrepreneurs, CentraleSupélec contribue à des avancées majeures, par exemple :
La biomasse au secours
de l’industrie
Les travaux de la Chaire de Biotechnologie de CentraleSupélec, qui associe recherche académique, innovation et transfert à l’industrie, développe des énergies renouvelables, matériaux composites biosourcés ou encore molécules à haute valeur ajoutée pour l’agroalimentaire et ce, en utilisant le vivant : plantes, microorganismes, lignocellulosiques, etc. Avec, de plus, une forte expertise en modélisation pour accélérer le passage à l’échelle industrielle.
Des plantes pour
extraire du nickel
Afin de pallier la pénurie de nickel annoncée dès 2024, la startup GENOMINES développe une technologie permettant d’extraire le nickel des sols pollués à faible concentration à l’aide de plantes hyper-accumulatrices génétiquement améliorées. Avec, pour résultats, un approvisionnement durable en nickel et des sols dépollués.
Patrick Perré,
professeur à CentraleSupélec et titulaire de la Chaire de Biotechnologie
« Les recherches menées au sein de la Chaire de Biotechnologie répondent à deux grands besoins. Tout d’abord, celui de la société de retrouver une autonomie énergétique, alimentaire ou pharmaceutique et ce, par la production de biens et services partant de ressources renouvelables issues du vivant. Ensuite, celui de redynamiser nos territoires avec des emplois non-délocalisables, grâce à cette production locale. Pour cela, nous travaillons à la mise au point, puis à la mise à l’échelle, de procédés et bioprocédés destinés à transformer les substrats de plantes grâce à des traitements physiques, mécaniques, chimiques ou biologiques. Et ce, pour produire soit des matériaux biosourcés soit des molécules qui sont ensuite triés, purifiés, améliorés voire combinés pour produire des ressources aussi diverses que du biochar, de l’éthanol, du biométhane, de l’hydrogène, des pigments, des antioxydants ou encore des médicaments. Enfin, pour le passage à l’échelle industrielle, nous nous appuyons sur la force de CentraleSupélec en IA et modélisation numérique, qui permet de reproduire les expériences conduites en laboratoire sous forme de jumeau numérique. »
